An entry from the journal of Docteur Yves Marcadent
Posted By marcadent on October 19, 2009
Cette terre est si primitive, et désole. Je me développe las du déplacement des milles sans fin, avec un manque d’approvisionnements et du nuage foncé de la mort au-dessus de nous. Nous continuons à perdre des hommes d’ici le jour de la maladie et de la malnutrition, et le moral semble être bas. Nous commençons la marche de nouveau à l’île de Presque, car le temps commence à se développer froid. I longtemps pour notre retour grand vers Paris, vraiment, et pour la fin de notre métier de cette terre horrible. J’ai peu de la manière du médicament, le jeu d’hommes loin et vole mon vin, et la tente maigre qu’ils me fournissent a commencé à couler. Les maladies dépassent les blessures par balle, et elle semble être une série de maladies plus intenses qu’arrière en France.This land is so primitive, and desolate. I am growing weary of traveling for endless miles, with a lack of supplies and the dark cloud of death over us. We continue to lose men by the day from disease and malnourishment, and the morale seems to be low. We are beginning the march back to Presque Isle, as the weather begins to grow cold. I long for our grand return to Paris, truly, and for the end of our occupation of this horrid land. I have little in the way of medication, the men gamble away and steal my wine, and the meager tent they provide me has begun to leak. The sicknesses outnumber the bullet wounds, and it seems to be a variety of more intense illnesses than back in France.
Comments
Leave a Reply